Aussi beau que " Le sang de la terre ", ce film de Stéphane KOWALCZYK utilise d'autres bouches mais bien ses images à lui pour nous parler vin et littérature, terroir et universalité, passage du temps sous les arbres...
Un désir de " chronique " au sens de l'histoire, au sens aussi du cinéma quand Jean EUSTACHE voulait filmer chaque année les cérémonies de " La Rosière de Pessac".
Un film du Sud, un film universel.